Le château

Château de Boudry Ambassade du vignoble neuchâtelois, œnothèque et musée

Les différentes pièces

La cour

Devant le portail d’entrée du Château, on trouve une petite cour intérieure où il est possible de prendre l’air lors de manifestations.
Cet endroit est le seul du Château accessible aux fumeurs.

Le hall d’entrée

Devant de hall d’entrée, le vestibule abrite une extraordinaire mosaïque romaine du IIIe siècle présentant une scène de symposium. On y découvre aussi une vitrine abritant des amphores et des bouteilles en verre des premiers siècles. De là, on accède par escaliers au Musée et aux étages inférieurs ; de plain-pied, par trois marches, à la salle des Chevaliers.

La salle des chevaliers

Ancienne « aula magna » du Château, cette salle a servi durant des siècles de lieu de justice. D’innombrables procès s’y sont tenus. En particulier, au XVIe et XVIIe siècle, des procès de sorcellerie avec les séances de torture qui étaient de mise (l’estrapade). Renommée en 1957, « salle des Chevaliers », elle peut accueillir aujourd’hui des repas jusqu’à 120 personnes. On y célèbre aussi des mariages. On peut notamment y admirer la fameuse toile des Pressureurs de Gustave Jeanneret et une des plus importantes tapisseries de Jean Lurçat, Les Vendanges. On y trouve également la vitrine de la Compagnie des Vignolants du Vignoble Neuchâtelois (CV2N).

Le caveau

Cette salle de 40 places abrite une partie de la collection d’étiquettes de bouteilles de vin. Il est possible d’y déguster des produits du terroir.

Le pressoir

Dans cette salle on trouve deux pressoirs : un à vis centrale en noyer du XVIIIe siècle, provenant d’une demeure patricienne neuchâteloise et un à arbre datant de 1720.

Avec de tels outils, il était possible de pressurer l’équivalent de deux tonnes de raisin. Pour extirper toutes les gouttes, il fallait compter entre six et huit heures et être quatre à six hommes.

Durant la période des vendanges, les pressureurs travaillaient quasiment 24 heures sur 24.

Ils étaient soutenus le soir dans leur labeur par les vendangeuses et vendangeurs qui venaient là faire la fête, boire et danser.

La citerne

L’ancienne citerne du Château, qui remonte au XIIIe–XIVe siècle, accueille désormais une bonne partie de la collection de verres du musée. Suite à l’exposition Viens donc prendre un verre, il a été décidé d’aménager cet espace pour y présenter la grande majorité de la verrerie du Musée. On y trouve toute une série de verres en lien avec l’absinthe, des verres du Doubs, des gobelets, des verres de Bohème, des verres de fêtes et évidemment une quantité d’exemplaires du XVIIIe siècle en lien avec l’art de la table et le plaisir de boire.

Le cellier, l’œnothèque cantonale

Le cellier abrite l’Œnothèque cantonale. On peut y déguster les vins du canton produits à partir des cépages qui sont plantés sur le territoire neuchâtelois. Le cellier peut accueillir jusqu’à 240 personnes pour des apéritifs. On y trouve des tableaux de Gustave Jeanneret, d’Eric de Coulon, des objets viticoles et même un char à brecet. Au début 2015, la salle a été entièrement restaurée avec l’application d’un crépi à la chaux tel qu’il existait à l’époque où cette salle servait de cave au château.

La cour

Devant le portail d’entrée du Château, on trouve une petite cour intérieure où il est possible de prendre l’air lors de manifestations.
Cet endroit est le seul du Château accessible aux fumeurs.

Le hall d’entrée

Devant de hall d’entrée, le vestibule abrite une extraordinaire mosaïque romaine du IIIe siècle présentant une scène de symposium. On y découvre aussi une vitrine abritant des amphores et des bouteilles en verre des premiers siècles. De là, on accède par escaliers au Musée et aux étages inférieurs ; de plain-pied, par trois marches, à la salle des Chevaliers.

La salle des chevaliers

Ancienne « aula magna » du Château, cette salle a servi durant des siècles de lieu de justice. D’innombrables procès s’y sont tenus. En particulier, au XVIe et XVIIe siècle, des procès de sorcellerie avec les séances de torture qui étaient de mise (l’estrapade). Renommée en 1957, « salle des Chevaliers », elle peut accueillir aujourd’hui des repas jusqu’à 120 personnes. On y célèbre aussi des mariages. On peut notamment y admirer la fameuse toile des Pressureurs de Gustave Jeanneret et une des plus importantes tapisseries de Jean Lurçat, Les Vendanges. On y trouve également la vitrine de la Compagnie des Vignolants du Vignoble Neuchâtelois (CV2N).

Le caveau

Cette salle de 40 places abrite une partie de la collection d’étiquettes de bouteilles de vin. Il est possible d’y déguster des produits du terroir.

Le pressoir

Dans cette salle on trouve deux pressoirs : un à vis centrale en noyer du XVIIIe siècle, provenant d’une demeure patricienne neuchâteloise et un à arbre datant de 1720.

Avec de tels outils, il était possible de pressurer l’équivalent de deux tonnes de raisin. Pour extirper toutes les gouttes, il fallait compter entre six et huit heures et être quatre à six hommes.

Durant la période des vendanges, les pressureurs travaillaient quasiment 24 heures sur 24.

Ils étaient soutenus le soir dans leur labeur par les vendangeuses et vendangeurs qui venaient là faire la fête, boire et danser.

La citerne

L’ancienne citerne du Château, qui remonte au XIIIe–XIVe siècle, accueille désormais une bonne partie de la collection de verres du musée. Suite à l’exposition Viens donc prendre un verre, il a été décidé d’aménager cet espace pour y présenter la grande majorité de la verrerie du Musée. On y trouve toute une série de verres en lien avec l’absinthe, des verres du Doubs, des gobelets, des verres de Bohème, des verres de fêtes et évidemment une quantité d’exemplaires du XVIIIe siècle en lien avec l’art de la table et le plaisir de boire.

Le cellier, l’œnothèque cantonale

Le cellier abrite l’Œnothèque cantonale. On peut y déguster les vins du canton produits à partir des cépages qui sont plantés sur le territoire neuchâtelois. Le cellier peut accueillir jusqu’à 240 personnes pour des apéritifs. On y trouve des tableaux de Gustave Jeanneret, d’Eric de Coulon, des objets viticoles et même un char à brecet. Au début 2015, la salle a été entièrement restaurée avec l’application d’un crépi à la chaux tel qu’il existait à l’époque où cette salle servait de cave au château.