D’août à octobre 2015

Avec cette présentation, le Musée a montré aux visiteurs quelques aspects des maladies et des parasites qui exigent de la part des vignerons des soins et une lutte incessante.

Des panneaux lithographiés de la maison Vermorel évoquaient tant les maladies cryptogamiques que celles dues à des insectes ou pucerons. Avec le mildiou, l’oïdium, le black-rot, l’anthracnose, la cochylis,  la pyrale, l’urbec et  le phylloxéra, l’attention du vigneron est toujours sur le qui vive!

Entre les moyens hautement toxiques d’autrefois – on croyait aux vertus de la chimie – et ceux écologiques d’aujourd’hui, le regard porté sur les parasites a fortement évolué. En effet, entre les phéromones qui perturbent l’activité sexuelle des papillons mâles et l’usage de l’arsenic, l’écart est significatif.

Cette petite présentation témoignait de cette lutte constante qui a toujours animé le monde de la vigne.